Expositions "Jardin créole"
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Des associations de plantes à l’agroforesterie

Vers une agroforesterie guadeloupéenne

Nos cultures sont déséquilibrées par rapport à nos besoins alimentaires. Les cultures dominantes, canne et banane, n’ont que des raisons économiques. Et toutes les autres productions sont à trop petite échelle pour lutter efficacement contre les excès de l’importation alimentaire.

Une solution ne serait-elle pas de combiner avec une bonne partie de la couverture arborée de notre archipel les cultures si diverses de nos jardins créoles, autrement dit, les amener à l’agroforesterie ? Car cette nouvelle approche de la production agricole permettrait d’associer une production alimentaire de qualité, des valorisations économiques supérieures et un système d’exploitation durable.

Mais c’est quoi cette agroforesterie ?

Cette exposition d’Archipel des sciences montre en quoi celle-ci s’inspire de notre milieu naturel et de pratiques de nos jardins.

Mémoires d’abattis

Jardins de Guyane et d’Amazonie (2 posters)

 

Jardins créoles de la Caraïbe

  • Sainte-Lucie (1 poster)
  • Martinique (1 poster)

Jardins de Martinique

  • Dominique (2 posters)
  • L’école est au jardin (3 posters)
L'école est au jardin poster 1
L'école est au jardin poster 2
L'école est au jardin poster 3
  • le jardin créole et les maladies neurologiques (2 posters)

Plantes du jardin créole et maladies neurologiques

  • Les jardins du corps (2 posters)
  • Jardin bonheur de la Martinique (1 poster)

Jardin bonheur à Sainte-Marie (Martinique)

  • Haïti (3 posters)
Jardins de Jacmel
Jardins de Madian
Jardins de Salagnac

La région de Jacmel, dans la péninsule de Haïti était réputée pour sa diversité de ses jardins vivriers.

La vallée de Jacmel, reliée à Port-au-Prince par une route importante, mais en cours de dégradation dans les années 90, était encore un grenier de produits vivriers pour la capitale. Outre une agriculture de jardins de grande diversité d’espèces et de variétés, on y rencontrait des parcelles peu diversifiées à base d’igname jaune ou, moins souvent, d’igname guinée, associée au maïs et au « pois congo » (pois d’Angole) surtout. La dégradation croissante du réseau routier y amorçait des enclavements et une certaine autarcie alimentaire.